Le choix d’un driver LED de qualité conditionne de bons résultats en termes de retour sur investissement, d’économie d’énergie, de possibilité de gestion et de durabilité.
Un driver connectable peut être connecté à un réseau sur lequel il peut envoyer et recevoir des informations et/ou des commandes.
On connecte les luminaires, via leurs drivers, pour simplifier la gestion, faciliter l’adaptation et la modification du système de commande, s’ouvrir à un ensemble d’outils et interagir avec les autres applications du bâtiment.
Les drivers de qualité offrent des services supplémentaires aux différents usagers, de l’installation jusqu’à l’usage de l’éclairage au quotidien. Les économies d’énergie significatives constatées depuis plusieurs années découlent de cette meilleure gestion, qui permet de varier l’intensité lumineuse en fonction de l’activité (détection de présence par exemple) et des apports de lumière naturelle.
Le choix du driver doit prendre en compte les protocoles ouverts tel que DALI-2 ou DALI+ afin d’assurer l’interopérabilité avec les typologies de communication (filaire ou non) auquel il va être raccordé. Les dernières innovations des alliances Zhaga et D4i, par exemple, offrent des solutions certifiées qui permettent de mettre en œuvre des installations communicantes, pérennes et évolutives.
Cet épisode du feuilleton « Comment choisir un driver LED » vous est offert par le Syndicat de l’éclairage. Il est libre de droits, n’hésitez pas à le diffuser !