Critères de choix des Drivers LED – 2/7 Taux de distorsion harmonique

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Le choix d’un driver LED de qualité conditionne de bons résultats en termes de retour sur investissement, d’économie d’énergie, de possibilité de gestion et de durabilité.

exemple d'harmoniques du courant électrique
Exemple d’harmoniques

Taux de distorsion harmonique

Le driver doit générer le moins d’harmoniques possible, c’est-à-dire perturber le moins possible le réseau auquel il est raccordé, ce qui est mesuré par le THD (Total Harmonic Distortion) appelé en français taux de distorsion harmonique.

La norme NF EN 61000-3-2 définit la manière de le mesurer. Les composants pour l’éclairage doivent être conformes selon la classe C. Le respect de cette norme garantit la conformité aux exigences du marquage CE.

Sur la plage de fonctionnement de 50 à 100 %, le facteur de puissance doit être supérieur ou égal à 0,9, et les harmoniques de rang 3 doivent être limitées afin de minimiser la puissance réactive. Ces exigences permettent de réduire les risques pour l’installation.

Nota : avec les compteurs électriques intelligents, le courant réactif sera à terme facturé.


Cet épisode du feuilleton « Comment choisir un driver LED » vous est offert par le Syndicat de l’éclairage. Il est libre de droits, n’hésitez pas à le diffuser !

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