Une légitimité renforcée grâce à deux nouveaux adhérents
Le Syndicat de l’éclairage renforce sa légitimité en accueillant deux nouveaux adhérents : Ragni et Oledcomm.
Eclairage extérieur : Ragni
Installée à Cagnes sur Mer (06) depuis plus de 80 ans, l’entreprise familiale Ragni est un acteur reconnu (présent sur le marché de l’éclairage depuis 1927) en tant que fabricant et concepteur d’éclairage public et de mobilier urbain : luminaires, gestion de l’éclairage, LED, candélabres, mâts…
Animée d’une forte volonté d’adaptation à un monde en perpétuelle évolution, les équipes de Ragni s’appliquent à entretenir un savoir faire et le goût du travail bien fait. Ce positionnement, allié à la volonté d’innover, ont permis à Ragni de progresser sur le marché français mais aussi à l’export : l’entreprise française est présente dans plus de 40 pays et inaugure en 2015 une usine aux Etats-Unis.
Lumière connectée : Oledcomm
Quant à Oledcomm il s’agit d’une start-up fondée en 2012 par deux chercheurs de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines : Suat Topsu et Cédric Mayer. Implantée à Vélizy (78), elle a notamment été lauréate du concours de création d’entreprises innovantes 2012.
Oledcomm se place sur le secteur du marché des circuits intégrés et des logiciels embarqués pour les communications optiques sans fil utilisant le Li-Fi : elle développe une technologie permettant d’utiliser les LED comme un réseau de communication optique sans fil à haut débit. Avec une fréquence de 1000 millions d’informations par seconde, le Li-Fi est susceptible de concurrencer la fibre optique. Oledcomm est donc un fournisseur de technologie ciblant des applications dans le domaine de la communication sans fil en réseau PAN ou en point à point pour les terminaux mobiles et de la géolocalisation en intérieur pour les bâtiments (musées, galerie commerciale, aéroport…).
Deux nouveaux adhérents engagés dans la transformation numérique
La transformation numérique des entreprises, aussi appelée transformation digitale (lire ici une définition), est une mutation qui apparaît désormais comme nécessaire, et dont découle souvent une évolution des pratiques, des produits et services. Certains, comme Mc Kinsey ou le Think Tank G9+ pensent même qu’il faut l’accélérer. Mais par où commencer ?
Une première étape : proposer des produits innovants
L’innovation a souvent permis aux acteurs économiques de progresser, conquérir de nouveaux clients ou de nouveaux marchés. Avec l’éclairage LED tous les fabricants sont contraints d’innover, et il s’agit d’innovation de rupture.
On parle même parfois de « lumirévolution ». Travailler sur de nouveaux usages, ainsi qu’Oledcomm le propose, ou sur des produits destinés à rénover des installations d’éclairage en combinant esthétique, performance et durabilité comme le fait Ragni, est l’illustration de cette Lumirévolution. Tous les fabricants du Syndicat de l’éclairage sont engagés dans cette dynamique, pour le plus grand bénéfice des utilisateurs et de l’environnement : proposer des luminaires performants, associés à des automatismes simples et éprouvés, fait déjà partie de leur quotidien !
Le futur : des paradigmes à inventer
Afin d’accompagner les fabricants d’éclairage dans cette mutation, le Syndicat de l’éclairage étudie de nouveaux paradigmes, tels que l’offre Pay per Lux évoquée par Lionel Brunet dans une récente tribune du magazine Lumières3E. Réfléchir aux nouveaux usages possibles, aux opportunités qui peuvent se créer, c’est le signe que cette transformation, bien que très engagée, est loin d’être terminée.